Celles qui peuvent encore marcher et sourire

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Océane Perona, aux éditions Julliard, 2024, 147 pages


Héloïse dort mal et boit trop de café. Dans son bureau du groupe Violences, les journées se suivent et les procès-verbaux d’audition de victimes de viol s’accumulent sur la table. Chaque jour, Héloïse a le sentiment de se démener pour rien, puisque la plupart de ses enquêtes sont classées sans suite. Mais lorsque Laura est violée et laissée pour morte dans son appartement, Ophélie, jeune sociologue stagiaire dans le groupe, voit Héloïse s’enflammer pour cette affaire hors normes. L’étudiante curieuse se rend vite compte que la brigade elle-même n’est pas épargnée par les violences.

Immersion dans le quotidien d’un service de police spécialisé, ce roman entremêle les voix des femmes, celles qui parlent et celles qui écoutent, celles qui sont victimes mais marchent et rient encore. »


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